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psykédélik bazaar

22 octobre 2007

le temps s'écoule, avec la vie et ses rencontres

le temps s'écoule, avec la vie et ses rencontres impromptues, toujours les mêmes, au fond. Toujours cette envie de s'arréter là, suspendre l'écoulement des minutes et des secondes, et juste profiter....
rendu de projet en perspective, et puis ...toutes ces choses à vouloir saisir

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5 octobre 2007

la soirée s'étire indéfiniment, comme une sieste

la soirée s'étire indéfiniment, comme une sieste à la fraîcheur d'une ombre estivale. Dehors, la ville. Toujours. Et les autres qui rentreront.Après un concert, une balade en vélo.Le temps s'allonge se compresse se distord et, finalement les secondes deviennent des entités insaisissables, l'espace et les songes se mélangent, l'attente devient oeil, oreille et coeur, et soudain surgit dans mon esprit, ce qu'il en reste, une vieille rumeur huileuse et puante, j'entends les pas, ceux des pélerins cachés, toujours les mêmes, enfin je crois, et je respire d'un coup brusque et fort, me souvenant enfin de cette aprés-midi ferroviaire glissée entre des gouttes.

22 août 2007

c'est parti pour de nouvelles aventures !

affiche_eclat_2007

départ demain pour une nouvelle édition de ce festival particulier et incontournable, où Aurillac devient une zone vivante, étonnante pendant ces quelques jours .... rien ne décris l'excitation que j'ai d'y aller

à voir

à faire

à vivre

même sous la pluie

comme tous les ans, il ya un risque de décés là bas, et oui jours difficiles pour un organisme humain, même génétiquement modifié

10 août 2007

Rencontrer un cafard sous un reste de chansons chinoises (un oeil à travers la porte)

Une saveur sucrée parle d'Ailleurs, là, coincée entre une canine et une dent toute autre, indicernable parmi ce dégueulis de mots, postée à l'entrée de la caverne ... spatiale (quoique spartiate).
Ah! Aaaah! Et le corps sursaute, saute et trésaute à la réception de cette mélodie, oh dis-moi quelle mélodie ? Discordante, accords de Dante, où suis-je ? Où est-elle cette voix, divine inspiration, crachas occulairement présentés sous forme de gouttes...Goûte-moi ça, l'essence même de toute vibration que tu peux trouver...ferme les yeux ...Voyons, ferme-les et ne me regarde pas comme ça, tes yeux deviennent des poingts, fermés, soit, mais ne FRAPPE pas! Toi, toi, ooooh toi et tes nibards, et cette chose entre tes deux jambes, arrête de vibreeer! Ne me REGARDE pas....Tu ris, non ce n'est pas un miroir, c'est une larme sur une route, pourquoi pas la soixante-sixiéme mythique, qui se cache entre le dernier bavoir baveux plein de tes bavures quotidiennes, tes conneries, oui, ce que tu ne devrais pas faire, et le hâlot tracé, rond vaporeux sur bitume, lumiére d'un lampadaire.
Je crois que je suis une femme. (Je regarde...oui c'est vrai, c'est l'odeur) C'est donc à MOI que TU parle ? (Crissements de dents, traduisant l'interdiction de l'expression...celle affichée sur ce semblant d'amas de peau, un visage ...un pic, un roc, que dis-je uneuh pénisuleuh !)
Un carton, réparé à l'aide de ruban adhésif transparent, contenant des cassettes auditiiives, des perles nacrées plastiquement réalisées placées dans un petit sachet rouge, rouge profond, légerement sanguin, aspect luisant, satiné, quoi ; le reste est peut-être une part de vérité, d'enfance en tout cas. Et toutes ces araignées. C'est vrai, çà, pourquoi tant de ces bestioles ? J'en ai laissé vivre une, tisser sa toile, on m'a toujours dit que c'était un faucheux, et à ce mot, l'image de champs dorés, mais pour moi et elles, avec leur présence fine et courbée, ce sont simplement des FAUCHEUSES. Une a grandi et s'est multipliée, il y en a jusque sous mon oreiller, de ces clones insipides, charmants compagnons, alors, au fond, si j'équarquille bien les yeux de PEUR, ce sentiment apparaît à TON imagination comme des miliers d'oeufs frémissants pondus dans MES cheveux !?
Devras-tu fuir quand la nuit tombera, raticide acide de trouille....ahah Merde, c'est fini, le coeur bat, bat, bat mais c'est tout le corps qui bat dans une mortelle accélération, est-il vital de ne plus BATTRE à ce rythme, pulsations, pulsations, pulsations pulsatiles, pustulantes poussées oh pussicat, help her eyes
YOU don't know ?? Que signifient les éclairs qui dansent, loin, mais ils sont là, alors cette clope se consume, se consume, jusqu'aux phalanges, j'ai beau être étendu(e) dehors sur le trottoir, personne ne veux jouer, n'y a-t-il pas de gens qui VOYENT mon jeu ? "Help me", dans un rictus...
Et tu te permets de HURLER de rire à l'issue du jugement dont la Cour Des Actes Manquant A l'Appel
de ton cas à fait objet ? Tu n'es qu'une montre qui retarde, et ton café va moisir.
J'ai la gueule ravagée de larmes, mais ce n'est pas de Moi que je parle, et je RIS la tête inondée, labourant la terre avec des ongles inexistants, sous un, ô combien euphorique, arbre à citrons JAUNES...
Le monde tourne, et je lui permet de bâiller à sa santé.
Une éclipse, tiens ? On ne sera plus qu'à deux. Ou mille.
Je m'aperçois alors de la capacité dépourvue d'humanité des objets à HABITER leur quotidien.

Inch'allah.

5 août 2007

domaize

retour dans le calme et le paysage fort appréciable
site magnifique


                    grand soleil                  

je ne peux rien dire et juste faire un gros clin-d'oeil

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11 juillet 2007

Si l'on devait décrire une ultime inspiration

Comment devrais-je considérer le regard qu'elle me jette, là, à ce moment précis où ses yeux touchent mon épaule de son venin vitreux ?
Alors je tourne la tête du côté du mur qui contient la tache de café faite un jour alcoolique, et astreint le cou à maintenir cette position fixe et passionnée.
Ce qu'elle fait derriére mon dos accapare l'esprit, l'esprit qui est le mien. Enfin, je crois.
Fermer les yeux.
Et ce supplice, infâme torture, de ne pas pouvoir clore les oreilles; cesser d'entendre.
Elle se masturbe, j'entends le bruit visqueux de sa main sur sa chatte et son souffle...son souffle.
Je ferme les yeux et la tâche qui s'était imprimée sur ma rétine disparaît enfin.

Un air frais carresse ma colonne et l'impression d'être gelé finit par me réveiller. Je suis nu, dehors les étoiles rient de me voir ainsi roulé sur le drap, comme une boule de coton épongeant le sang coulant d'une plaie mal fermée.
Seul sur mes pieds au milieu de l'appartement vide et sale, j'aime pourtant savoir qu'il n'y a que moi qui accepte ce quotidien si tortueux de salopette ou pantalon de velours.
La vieille armoire, avec sa glace fendue et les gravures baroques de la porte, ne contient que de ces vêtements rapeux.
J'aime sentir le tissu usé sur la peau.
Où qu'elle aille, l'odeur de grenier et de vieilles choses qu'ont mes habits la poursuivront toujours.
Je le sais.
Le murmure du soleil à travers les paupiéres me le dit, il crie cette vérité si fort que je suis là, étendu sur le parquet, et les échardes dans mon dos, allongé et le soleil...ce soleil... si fort... cette chaleur.
C'est bon.
Mais je ne respire plus.

annif_camille_2007_017

1 juin 2007

aprés-midi dans un lieu désert

le bac

la pluie

le chocolat

les lettres interminables

une discussion dérangeante et dérangée en attente

l'art et l'expression

la vie

je sais.

26 mai 2007

laissez vos délégués de classe jouer et le

laissez vos délégués de classe jouer et le résultat donne :

Samedi 2 juin

à la Coopérative de mai (Clermont-Ferrand)


• Agoria Live
• Cirkus feat. Neneh Cherry
• Vive la fête
• Erik Sumo Band feat. Erzsi Kiss
• Fused Marc
• Gus Gus

bon son trip-hop, groovy et autre, en partie à découvrir...à voir, donc, et surtout à écouter

20 mai 2007

terminé ce bouquin entre le train et le lit....

terminé ce bouquin entre le train et le lit.... il en résulte une étrange impression laissée au lecteur
(avec une question : pourquoi les titres des parties n'ont rien à voir avec leur contenu ?....)

paulauster1

19 mai 2007

faut un début à tout ...

Et hop, encore un ! comme un nouveau départ, une page tournée , une projection en avant ....bref, un nouvel endroit d'expression
(et d'accumulage de trucs en tout genre....)

               

mars_2007_134

(tof: mars 2007-my eye)

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